Adieu, mon ami, je te salue mon vieux compagnon de route,
L’homme aveugle et frustré s’éteint peu à peu en moi,
Comme meurt la nuit obstinée sans espoir devant l’Aurore.
L’angoisse se mélange à la plus grande splendeur,
Le départ de l’homme dépassé et la naissance du Dieu immortel.
L’homme moribond, périmé, épuisé s’accroche âprement encore,
A la terre qui lui tourne le dos pour mieux accueillir l’Enfant Dieu,
Qui arrive revêtu de lumière investi du mandat divin.
L’homme périt dans l’incendie que sa passion a déclenché.
Comme le Phénix, l’Enfant Dieu renaît, les yeux pleins de rires,
Hors des cendres de l’homme brûlé, aveugle et méprisant.
Adieu la nuit si oppressive, si longue! Adieu la violente agonie!
Paix, paix sur la terre. Joie et harmonie de la Présence divine.
Que Ton nom soit béni, Mère Divine. Que Ta douceur illumine les cœurs.
Chaque coup de ciseau du Grand Sculpteur fait disparaître les vestiges,
De l’homme animal malgré sa trompeuse puissance,
Et dégage peu à peu les traits ravissants d’une Divinité sublime.
Source: http://www.motherland-guharoy.net/poems/adieu-mon-ami-2
L’homme aveugle et frustré s’éteint peu à peu en moi,
Comme meurt la nuit obstinée sans espoir devant l’Aurore.
L’angoisse se mélange à la plus grande splendeur,
Le départ de l’homme dépassé et la naissance du Dieu immortel.
L’homme moribond, périmé, épuisé s’accroche âprement encore,
A la terre qui lui tourne le dos pour mieux accueillir l’Enfant Dieu,
Qui arrive revêtu de lumière investi du mandat divin.
L’homme périt dans l’incendie que sa passion a déclenché.
Comme le Phénix, l’Enfant Dieu renaît, les yeux pleins de rires,
Hors des cendres de l’homme brûlé, aveugle et méprisant.
Adieu la nuit si oppressive, si longue! Adieu la violente agonie!
Paix, paix sur la terre. Joie et harmonie de la Présence divine.
Que Ton nom soit béni, Mère Divine. Que Ta douceur illumine les cœurs.
Chaque coup de ciseau du Grand Sculpteur fait disparaître les vestiges,
De l’homme animal malgré sa trompeuse puissance,
Et dégage peu à peu les traits ravissants d’une Divinité sublime.
Source: http://www.motherland-guharoy.net/poems/adieu-mon-ami-2