Dieu a dit:
La volonté suit le désir. Désirez d’abord. La volonté suivra. Il doit d’abord y avoir une idée. Il doit y avoir quelque chose que vous voulez de tout votre cœur, et par conséquent de tout Mon cœur. ‘‘Que Ta Volonté soit faite’’ marche des deux côtés, comme s’il y avait deux côtés. Il n’y a pas d’autre ‘‘côté’’ que le Mien.
Vouloir n’est pas supposé être quelque chose de difficile à faire. En fait, la volonté n’est pas de l’ordre du faire. Vouloir ne veut pas dire travailler dur. Déterminez ce que vous voulez, et laissez-le advenir. Laissez-le venir à vous. Laissez-le se révéler.
Si vous voulez écrire un livre, pour le faire vous devez évidemment le désirer, puis le vouloir, puis enfin l’écrire. Cependant, la volonté n’est pas supposée vous demander beaucoup d’efforts. C’est même en suivant la voie de moindre résistance que la volonté s’accomplit.
Lorsque vous désirez vraiment, qu’est-ce qui vous arrêtera? Le vrai désir n’est pas un pur accessoire. C’est là où vous vous trouvez. Les jours où une volonté forte et des efforts individuels étaient nécessaires sont terminés. Le désir n’est pas une vague pensée. Vous avez compris la direction que vous voulez suivre. Vous êtes autonome. Vous ne nagez pas à contre-courant. Vous suivez le courant de votre désir. Le désir vous portera jusqu’à la volonté. De là, vous accomplissez vos désirs. Votre désir met quelque chose en mouvement. Vous participez à ce mouvement. Ce n’est pas via d’immenses efforts que vos désirs sont satisfaits. Vous êtes présent. Vous n’êtes pas absent. Vous ne payez pas autrui pour qu’il écrive votre livre alors que c’est votre désir de l’écrire.
Votre désir vous alimente. Si vous voulez écrire un livre, il ne s’écrit pas tout seul – quoique. Vous n’êtes pas obligé de vous attacher à votre ordinateur pour l’écrire. Vous pouvez fixer un moment pour l’écrire, et ainsi écrivez-vous. Une application quotidienne vous mènera loin.
Lorsque vous vous appliquez à ce qui fait sens pour vous, l’effort n’est désormais plus nécessaire. Quel que soit votre désir, vous êtes celui qui agit, même si cela semble est un coup de chance que le livre s’écrive. Dès que vous le commencez, il est déjà écrit. Me comprenez-vous? Bien sûr, il y a des livres inachevés. Très bien. Peut-être y en a t-il un autre à écrire à présent.
Il y a quelque chose qui vous pousse en avant, et cette chose, c’est le désir. Le désir ne demande pas d’efforts. Il apparaît. Une fois qu’il apparaît, une direction est donnée. L’univers vous viendra en aide. Votre désir lui en donne l’opportunité. En un sens, vous êtes soumis à votre désir. Celui-ci advient en vous. Vous ne l’avez pas choisi en pleine conscience. Vous n’avez fait que remarquer sa manifestation en vous.
Lorsque vous désirez la paix, par exemple, ce désir vient de bien plus profond que votre esprit, il vient de Mon cœur, et vous ne faite que l’assumer et le prendre en charge. Il devient votre désir. Et ce processus vous nourrit. Il y a quelque chose que vous voulez, et vous œuvrez pour l’obtenir.
Il y a davantage que ce que vos yeux peuvent percevoir. Il y a une impulsion qui s’initie, et vous suivez cette impulsion.
Vous êtes innocents. Les désirs ne sont pas retors. Ils ne sont pas astucieux. Ce sont juste des désirs. Il y a quelque chose en vous qui veut se lever, et le désir l’éveille.
Cela dit tous les désirs M’appartiennent. Je vous réveille le matin. Et après un moment, vous vous levez. Et puis votre journée commence. Et vous découvrez ce qui est sur votre agenda. Vous découvrez votre journée. Vous pourriez tout aussi bien agir machinalement, pourtant chaque jour trouve en lui-même sa réalisation. C’est comme si vous passiez commande de votre journée, et que vous contentiez d’en observer le déroulement.
Parfois lorsque vous regardez votre vie, vous réalisez que vous n’étiez pas celui qui agissait. Cela vous surprendra tout d’abord parce que vous pensiez que vous étiez un gros travailleur. Que vous n’ayez jamais vraiment agi n’indique pas pour autant que vous êtes un fainéant. Cela signifie simplement que Je suis la force motivante derrière vous. Nous pouvons dire que le désir vient de Moi, et Nous pouvons dire que c’est Mon désir que vous réalisez. Oui, pourquoi pas? Pourquoi n’en serait-il pas ainsi?
Traduit par Jean-Christophe
Source: www.heavenletters.org
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La volonté suit le désir. Désirez d’abord. La volonté suivra. Il doit d’abord y avoir une idée. Il doit y avoir quelque chose que vous voulez de tout votre cœur, et par conséquent de tout Mon cœur. ‘‘Que Ta Volonté soit faite’’ marche des deux côtés, comme s’il y avait deux côtés. Il n’y a pas d’autre ‘‘côté’’ que le Mien.
Vouloir n’est pas supposé être quelque chose de difficile à faire. En fait, la volonté n’est pas de l’ordre du faire. Vouloir ne veut pas dire travailler dur. Déterminez ce que vous voulez, et laissez-le advenir. Laissez-le venir à vous. Laissez-le se révéler.
Si vous voulez écrire un livre, pour le faire vous devez évidemment le désirer, puis le vouloir, puis enfin l’écrire. Cependant, la volonté n’est pas supposée vous demander beaucoup d’efforts. C’est même en suivant la voie de moindre résistance que la volonté s’accomplit.
Lorsque vous désirez vraiment, qu’est-ce qui vous arrêtera? Le vrai désir n’est pas un pur accessoire. C’est là où vous vous trouvez. Les jours où une volonté forte et des efforts individuels étaient nécessaires sont terminés. Le désir n’est pas une vague pensée. Vous avez compris la direction que vous voulez suivre. Vous êtes autonome. Vous ne nagez pas à contre-courant. Vous suivez le courant de votre désir. Le désir vous portera jusqu’à la volonté. De là, vous accomplissez vos désirs. Votre désir met quelque chose en mouvement. Vous participez à ce mouvement. Ce n’est pas via d’immenses efforts que vos désirs sont satisfaits. Vous êtes présent. Vous n’êtes pas absent. Vous ne payez pas autrui pour qu’il écrive votre livre alors que c’est votre désir de l’écrire.
Votre désir vous alimente. Si vous voulez écrire un livre, il ne s’écrit pas tout seul – quoique. Vous n’êtes pas obligé de vous attacher à votre ordinateur pour l’écrire. Vous pouvez fixer un moment pour l’écrire, et ainsi écrivez-vous. Une application quotidienne vous mènera loin.
Lorsque vous vous appliquez à ce qui fait sens pour vous, l’effort n’est désormais plus nécessaire. Quel que soit votre désir, vous êtes celui qui agit, même si cela semble est un coup de chance que le livre s’écrive. Dès que vous le commencez, il est déjà écrit. Me comprenez-vous? Bien sûr, il y a des livres inachevés. Très bien. Peut-être y en a t-il un autre à écrire à présent.
Il y a quelque chose qui vous pousse en avant, et cette chose, c’est le désir. Le désir ne demande pas d’efforts. Il apparaît. Une fois qu’il apparaît, une direction est donnée. L’univers vous viendra en aide. Votre désir lui en donne l’opportunité. En un sens, vous êtes soumis à votre désir. Celui-ci advient en vous. Vous ne l’avez pas choisi en pleine conscience. Vous n’avez fait que remarquer sa manifestation en vous.
Lorsque vous désirez la paix, par exemple, ce désir vient de bien plus profond que votre esprit, il vient de Mon cœur, et vous ne faite que l’assumer et le prendre en charge. Il devient votre désir. Et ce processus vous nourrit. Il y a quelque chose que vous voulez, et vous œuvrez pour l’obtenir.
Il y a davantage que ce que vos yeux peuvent percevoir. Il y a une impulsion qui s’initie, et vous suivez cette impulsion.
Vous êtes innocents. Les désirs ne sont pas retors. Ils ne sont pas astucieux. Ce sont juste des désirs. Il y a quelque chose en vous qui veut se lever, et le désir l’éveille.
Cela dit tous les désirs M’appartiennent. Je vous réveille le matin. Et après un moment, vous vous levez. Et puis votre journée commence. Et vous découvrez ce qui est sur votre agenda. Vous découvrez votre journée. Vous pourriez tout aussi bien agir machinalement, pourtant chaque jour trouve en lui-même sa réalisation. C’est comme si vous passiez commande de votre journée, et que vous contentiez d’en observer le déroulement.
Parfois lorsque vous regardez votre vie, vous réalisez que vous n’étiez pas celui qui agissait. Cela vous surprendra tout d’abord parce que vous pensiez que vous étiez un gros travailleur. Que vous n’ayez jamais vraiment agi n’indique pas pour autant que vous êtes un fainéant. Cela signifie simplement que Je suis la force motivante derrière vous. Nous pouvons dire que le désir vient de Moi, et Nous pouvons dire que c’est Mon désir que vous réalisez. Oui, pourquoi pas? Pourquoi n’en serait-il pas ainsi?
Traduit par Jean-Christophe
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