Notre Mission
Dieu a dit:
Ainsi donc, Mes bien-aimés, vous jouez dans un champ de fleurs, même si vous percevez la Terre comme un champ de mines. C’est logique, d’un certain point de vue. Vous ne pouvez pas compter sur le monde, car il se meut constamment, comme des sables mouvants. Pourtant, le fondement du monde est à la fois très profond et très élevé. Il est solide. Il ne peut être ébranlé. Il ne tremble ni vacille. Jamais. Le fondement du monde est immuable. La maison construite dans l’esprit des hommes est sujette à diverses perturbations, à quelques secousses. Mais la Terre est construite sur une fondation sûre, une fondation inébranlable. Vous, vous qui vous tenez sur cette fondation, vous aurez beau subir maintes secousses, vous resterez ferme, inébranlable.
C’est la fiction dramatique dans laquelle vous jouez en ce monde. Vous pensez que tout cela est réel, que vous pouvez être vaincu, terrassé, renversé, voire abattu. Ce qui se déroule sur la scène du monde relève d’une certaine finesse : vous vous montrez très futés avec vous-même, si vous voyez ce que Je veux dire. Vous avez l’art de vous confier un lourd fardeau à porter alors même qu’il n’y en a aucun à porter.
Pareillement, il n’est pas possible que vous patiniez sur une fine couche de glace, Mes bien-aimés, car il n’y a pas de glace. Le monde sur lequel vous vous tenez est solide. Il n’est pas là aujourd’hui, et demain évaporé, évanoui, disparu. Il est toujours là. Et vous êtes toujours là. Simplement là. Là de toute éternité. Cet ‘‘Être là’’ dont Je parle est Eternité Suprême, Pur état d’être, qui ne fait aucun prisonnier, qui est absolument Libre, qui est simplement dans cet adorable Etat d’Être, simplement et seulement dans cet Etat d’Être, sans rien d’autre qui tenterait de s’immiscer.
En étant Qui vous Êtes, vous vous tenez avec Moi. Vous, essence de l’Être, êtes essence de Dieu. Nous sommes faits de la même essence, et c’est dans cette Pure Unité de l’Être que Nous fusionnons.
Nous pourrions Nous appeler Beauté, Béatitude, Joie, Ravissement, pourtant Nous ne relevons pas de l’expérience. Nous sommes Être-té. Je SUIS Être-té. Et ce que JE SUIS, vous l’Êtes. Là, il n’y a pas de sacs de nœuds ni d’enchevêtrements compliqués. Il y a l’Être, Simple et Pur. Pas d’eaux troubles. Pas d’eaux boueuses. Seulement de la clarté. C’est comme un Océan qui n’aurait pas de vagues, pas de rivages, sauf les vagues que vous imaginez, et les rivages que vous concevez, et sur lesquels vous êtes encouragés à jouer et à apprécier de jouer, tant que dure le jeu.
Ça dure un petit moment, oui, même si le temps n’existe pas sur l’Océan, excepté sur la rive et les vagues. Ce n’est rien du tout, mais ça semble être quelque chose, quelque chose d’immense dans le temps et dans l’espace, paramètres qui sont eux-mêmes évanescents.
Les apparences ne sont pas tout. Une histoire semble surgir de n’importe où, n’importe quand, et pourtant il n’y a pas de où ni de quand, il n’y a pas de choses, pas d’entrepôts pour ces choses, pas d’objets, pas de placard à objets, pas de rideaux pour vous protéger du soleil, et malgré tout cela, vous buvez de l’eau pour hydrater votre corps, vous faites de l’ombre avec votre main pour vous protéger du soleil, et vous avez des paupières qui tantôt s’ouvrent et tantôt se ferment, comme si finalement tout cela avait de l’importance. Ça a de l’importance dans la dimension dans laquelle vous vivez. Ça a beaucoup d’importance. Des sciences entières sont construites autour de cela, et des universités, des nations, et des peuples, et de familles, et toute sorte de chose.
Vous, vous qui pouvez voir ce qui se tient en face de vous, vous avez aussi une Vision Supérieure. Vous la connaissez comme une aspiration lointaine. Cette Vision Supérieure est toujours vôtre. Vous la voyez de loin, vaguement. Vous entendez des rumeurs à son sujet. Vous pouvez savoir que c’est vrai parce que votre cœur tend vers Elle. Vous jouez sur la Terre, Mes bien-aimés, alors que vous êtes fermement établi dans le Ciel. Vous jouez à être un être humain tandis que vous êtes solidement établi dans le Ciel, tandis que vous êtes un Pur Être et que vous volez très haut, très haut dans la Pure et Calme Immobilité.
Traduit par Jean-Christophe
Source: www.heavenletters.org
Cliquez ici si vous désirez recevoir les Heaven Letters en français
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Ainsi donc, Mes bien-aimés, vous jouez dans un champ de fleurs, même si vous percevez la Terre comme un champ de mines. C’est logique, d’un certain point de vue. Vous ne pouvez pas compter sur le monde, car il se meut constamment, comme des sables mouvants. Pourtant, le fondement du monde est à la fois très profond et très élevé. Il est solide. Il ne peut être ébranlé. Il ne tremble ni vacille. Jamais. Le fondement du monde est immuable. La maison construite dans l’esprit des hommes est sujette à diverses perturbations, à quelques secousses. Mais la Terre est construite sur une fondation sûre, une fondation inébranlable. Vous, vous qui vous tenez sur cette fondation, vous aurez beau subir maintes secousses, vous resterez ferme, inébranlable.
C’est la fiction dramatique dans laquelle vous jouez en ce monde. Vous pensez que tout cela est réel, que vous pouvez être vaincu, terrassé, renversé, voire abattu. Ce qui se déroule sur la scène du monde relève d’une certaine finesse : vous vous montrez très futés avec vous-même, si vous voyez ce que Je veux dire. Vous avez l’art de vous confier un lourd fardeau à porter alors même qu’il n’y en a aucun à porter.
Pareillement, il n’est pas possible que vous patiniez sur une fine couche de glace, Mes bien-aimés, car il n’y a pas de glace. Le monde sur lequel vous vous tenez est solide. Il n’est pas là aujourd’hui, et demain évaporé, évanoui, disparu. Il est toujours là. Et vous êtes toujours là. Simplement là. Là de toute éternité. Cet ‘‘Être là’’ dont Je parle est Eternité Suprême, Pur état d’être, qui ne fait aucun prisonnier, qui est absolument Libre, qui est simplement dans cet adorable Etat d’Être, simplement et seulement dans cet Etat d’Être, sans rien d’autre qui tenterait de s’immiscer.
En étant Qui vous Êtes, vous vous tenez avec Moi. Vous, essence de l’Être, êtes essence de Dieu. Nous sommes faits de la même essence, et c’est dans cette Pure Unité de l’Être que Nous fusionnons.
Nous pourrions Nous appeler Beauté, Béatitude, Joie, Ravissement, pourtant Nous ne relevons pas de l’expérience. Nous sommes Être-té. Je SUIS Être-té. Et ce que JE SUIS, vous l’Êtes. Là, il n’y a pas de sacs de nœuds ni d’enchevêtrements compliqués. Il y a l’Être, Simple et Pur. Pas d’eaux troubles. Pas d’eaux boueuses. Seulement de la clarté. C’est comme un Océan qui n’aurait pas de vagues, pas de rivages, sauf les vagues que vous imaginez, et les rivages que vous concevez, et sur lesquels vous êtes encouragés à jouer et à apprécier de jouer, tant que dure le jeu.
Ça dure un petit moment, oui, même si le temps n’existe pas sur l’Océan, excepté sur la rive et les vagues. Ce n’est rien du tout, mais ça semble être quelque chose, quelque chose d’immense dans le temps et dans l’espace, paramètres qui sont eux-mêmes évanescents.
Les apparences ne sont pas tout. Une histoire semble surgir de n’importe où, n’importe quand, et pourtant il n’y a pas de où ni de quand, il n’y a pas de choses, pas d’entrepôts pour ces choses, pas d’objets, pas de placard à objets, pas de rideaux pour vous protéger du soleil, et malgré tout cela, vous buvez de l’eau pour hydrater votre corps, vous faites de l’ombre avec votre main pour vous protéger du soleil, et vous avez des paupières qui tantôt s’ouvrent et tantôt se ferment, comme si finalement tout cela avait de l’importance. Ça a de l’importance dans la dimension dans laquelle vous vivez. Ça a beaucoup d’importance. Des sciences entières sont construites autour de cela, et des universités, des nations, et des peuples, et de familles, et toute sorte de chose.
Vous, vous qui pouvez voir ce qui se tient en face de vous, vous avez aussi une Vision Supérieure. Vous la connaissez comme une aspiration lointaine. Cette Vision Supérieure est toujours vôtre. Vous la voyez de loin, vaguement. Vous entendez des rumeurs à son sujet. Vous pouvez savoir que c’est vrai parce que votre cœur tend vers Elle. Vous jouez sur la Terre, Mes bien-aimés, alors que vous êtes fermement établi dans le Ciel. Vous jouez à être un être humain tandis que vous êtes solidement établi dans le Ciel, tandis que vous êtes un Pur Être et que vous volez très haut, très haut dans la Pure et Calme Immobilité.
Traduit par Jean-Christophe
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