Dans l’exploration que nous faisons ici de l’Expérience Sacrée, tournons-nous maintenant vers le sujet de Dieu et certaines des conclusions de l’humanité sur Dieu.
Dieu existe vraiment, a conclu une bonne partie de l’humanité, mais la partie erronée de la conclusion à laquelle nous sommes arrivés est que Dieu existe à l’extérieur de nous, comme un aspect de la vie séparé de nous.
Cette idée de la séparation est ce qu’on pourrait appeler dans la Nouvelle Spiritualité le "Péché Originel". Bien sûr, dans la Nouvelle Spiritualité le "péché" n’existe pas, donc peut-être que les termes de "Perception Originelle" pourraient mieux décrire cette idée de séparation.
Nos anciennes idées de séparation ont donné naissance à une cosmologie de la séparation, c’est-à-dire une façon d’organiser la vie elle-même. Cette cosmologie de la séparation a fini par donner naissance à une théologie de la séparation, qui a fini par donner naissance à une psychologie de la séparation, qui a donné naissance à une sociologie de la séparation, qui a donné maintenant naissance à une pathologie de la séparation.
C’est cette pathologie de la séparation que nous voyons à l’œuvre partout où notre regard se porte, et qui s’exprime virtuellement dans chacun des choix, chacune des actions, chacune des décisions de toutes nos institutions humaines, y compris le gouvernement, l’éducation, le commerce, nos économies collectives, nos organisations sociales de toutes sortes… dont font partie, et ce ne sont pas les moindres, ce que nous appelons nos religions.
Dans ces conditions il n’est pas étonnant qu’il nous soit si difficile de considérer les gens extérieurs à notre environnement immédiat (sans parler de ceux qui appartiennent à d’autres cultures) comme des membres de notre propre famille. Pourtant c’est l’impossibilité de considérer les gens de cette manière qui a été à l’origine de la grande majorité des souffrances, des douleurs, des angoisses, des difficultés, des défis et des désastres d’origine humaine dont nous sommes chaque jour témoins sur notre planète.
C’est à la fois la grande tristesse et la grande ironie de la condition humaine: 90% de toute la souffrance humaine pourrait être effacée de la surface de la terre si simplement nous voyions en chaque être humain un membre de notre famille.
Ce qu’il faudrait faire pour y arriver est de se détacher progressivement de notre expérience humaine vécue jusqu’ici pour s’engager dans l’Expérience sacrée dont nous parlons dans ce Bulletin hebdomadaire depuis de nombreuses semaines maintenant.
Et nous poursuivrons cette discussion dans notre prochain numéro.
Neale Donald Walsch
Un grand merci à Jean-Louis pour la traduction de ce texte
Source: The CWG Foundation Weekly Bulletin N°487
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Nos anciennes idées de séparation ont donné naissance à une cosmologie de la séparation, c’est-à-dire une façon d’organiser la vie elle-même. Cette cosmologie de la séparation a fini par donner naissance à une théologie de la séparation, qui a fini par donner naissance à une psychologie de la séparation, qui a donné naissance à une sociologie de la séparation, qui a donné maintenant naissance à une pathologie de la séparation.
C’est cette pathologie de la séparation que nous voyons à l’œuvre partout où notre regard se porte, et qui s’exprime virtuellement dans chacun des choix, chacune des actions, chacune des décisions de toutes nos institutions humaines, y compris le gouvernement, l’éducation, le commerce, nos économies collectives, nos organisations sociales de toutes sortes… dont font partie, et ce ne sont pas les moindres, ce que nous appelons nos religions.
Dans ces conditions il n’est pas étonnant qu’il nous soit si difficile de considérer les gens extérieurs à notre environnement immédiat (sans parler de ceux qui appartiennent à d’autres cultures) comme des membres de notre propre famille. Pourtant c’est l’impossibilité de considérer les gens de cette manière qui a été à l’origine de la grande majorité des souffrances, des douleurs, des angoisses, des difficultés, des défis et des désastres d’origine humaine dont nous sommes chaque jour témoins sur notre planète.
C’est à la fois la grande tristesse et la grande ironie de la condition humaine: 90% de toute la souffrance humaine pourrait être effacée de la surface de la terre si simplement nous voyions en chaque être humain un membre de notre famille.
Ce qu’il faudrait faire pour y arriver est de se détacher progressivement de notre expérience humaine vécue jusqu’ici pour s’engager dans l’Expérience sacrée dont nous parlons dans ce Bulletin hebdomadaire depuis de nombreuses semaines maintenant.
Et nous poursuivrons cette discussion dans notre prochain numéro.
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