Dieu a dit:
Sur Terre, lorsque vous sentez un lourd fardeau sur vos épaules, il est difficile de penser à quoi que ce soit d’autre. Vos épaules sont lasses, vous ressentez de la douleur, de la souffrance, et vous n’en voyez pas la fin.
Quelqu’un pourrait vous suggérer: ‘‘dépose ce lourd fardeau que tu portes’’. Mais vous ne voyez pas comment, puisqu’il se trouve sur vos épaules. Vous répondriez: ‘‘Qui va le porter à ma place? Ma vie est pesante. C’est le poids de mes responsabilités. Ma vie est un fardeau. Je ne vois pas d’issue". Et ainsi vous demeurez dans une impasse.
C’est vous qui affirmez qu’il n’y a pas d’issue, et vous vous en tenez à votre histoire. Vous vous accrochez à ce que vous voyez comme un fardeau plutôt que de changer votre histoire. Vous voulez avoir raison, et ainsi gardez-vous le sac* que vous portez.
Vous avez raison en ceci: personne ne va faire disparaître les difficultés à votre place. Personne n’a à le faire. Personne n’est supposé le faire. Vous êtes supposé faire la différence. Vous.
Quelles que soient les difficultés que vous portez, quels que soient leurs poids, il y a un dénominateur commun, et vous n’allez pas l’apprécier.
Je ne dis pas que les difficultés ne sont pas là, Je dis que vous vous accrochez trop à elles. Vous vous y accrochez comme à votre propre vie, un peu comme si vous ne sauriez plus quoi faire de votre vie si vous étiez débarrassé de vos difficultés: vous n’auriez plus à vous plaindre, plus de souffrances, plus de douleurs! Vous vous sentiriez comme démuni sans votre croix à porter. Vous l’avez perçu comme une partie constituante de votre vie depuis si longtemps. Vous demeurez parfois étendu sous elle juste pour sentir son poids vous broyer les épaules.
Essayons de bien tout comprendre depuis le début: Je ne néglige pas la difficulté de votre situation. Je dis simplement que vous vous y accrochez. Cessez de mettre en valeur les exigences de la situation dans laquelle vous vous trouvez. Vos problèmes ne sont ni une médaille ni un insigne à arborer. Ils ne s’en iront pas d’un claquement de doigt. Personne ne va vous les enlever. S’ils sont vos problèmes, ils sont à vous, et c’est à vous de changer votre perception à leur propos. Changez votre perception, et vous changerez la configuration de vos difficultés.
Ne cherchez pas la faute en autrui. Mettez-vous plutôt à leur place.
Quelle que soit votre situation, le dénominateur commun est le même. Vous le voyez dans un sens, mais vous êtes incapable de le voir dans un autre sens.
Il est probable que vous accuserez. Vous accuserez les autres. Vous accuserez le sort. Vous M’accuserez. Lorsque vous accusez, vous ressentez de l’hostilité, et en accusez les circonstances. Cela vous maintient exactement là où vous avez commencé. Cela ne vous mène nulle part. Vous tournez en rond. Lorsque vous tournez en rond, vous ne voyez pas clairement. Peu importe ses justifications, votre colère vous appartient. Elle est de courte-vue. Bien sûr, qu’elle l’est. Essayez de voir plus loin. Voyez au-delà de votre rue. Voyez le changement.
Lorsqu’un problème paraît insurmontable, vous ne voyez pas d’autres options à part celle d’être sauvé par quelqu’un ou par quelque chose, ou celle de partir, ou celle de faire partir quelqu’un. Ou bien, ou bien, ou bien… Vous excluez pas mal d’autres possibilités. Bien sûr que si, ou vous auriez changé votre situation à l’intérieur depuis fort longtemps.
Je ne dis que rester ou partir est juste ou non. Je dis que Je ne veux que ni vous ni autrui ne souffriez. Et pourtant, souvent, votre compassion est pour vous-même, et vous n’en avez aucune pour ce que vous pourriez considérer comme le fléau de votre existence.
Trouvez de la compassion pour les autres. Faites preuve de clémence.
* Le jeûne, le sac et la cendre – Daniel 11, 2
Texte traduit par Jean-Christophe
Source: http://www.heavenletters.org/changer-votre-histoire.html
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Sur Terre, lorsque vous sentez un lourd fardeau sur vos épaules, il est difficile de penser à quoi que ce soit d’autre. Vos épaules sont lasses, vous ressentez de la douleur, de la souffrance, et vous n’en voyez pas la fin.
Quelqu’un pourrait vous suggérer: ‘‘dépose ce lourd fardeau que tu portes’’. Mais vous ne voyez pas comment, puisqu’il se trouve sur vos épaules. Vous répondriez: ‘‘Qui va le porter à ma place? Ma vie est pesante. C’est le poids de mes responsabilités. Ma vie est un fardeau. Je ne vois pas d’issue". Et ainsi vous demeurez dans une impasse.
C’est vous qui affirmez qu’il n’y a pas d’issue, et vous vous en tenez à votre histoire. Vous vous accrochez à ce que vous voyez comme un fardeau plutôt que de changer votre histoire. Vous voulez avoir raison, et ainsi gardez-vous le sac* que vous portez.
Vous avez raison en ceci: personne ne va faire disparaître les difficultés à votre place. Personne n’a à le faire. Personne n’est supposé le faire. Vous êtes supposé faire la différence. Vous.
Quelles que soient les difficultés que vous portez, quels que soient leurs poids, il y a un dénominateur commun, et vous n’allez pas l’apprécier.
Je ne dis pas que les difficultés ne sont pas là, Je dis que vous vous accrochez trop à elles. Vous vous y accrochez comme à votre propre vie, un peu comme si vous ne sauriez plus quoi faire de votre vie si vous étiez débarrassé de vos difficultés: vous n’auriez plus à vous plaindre, plus de souffrances, plus de douleurs! Vous vous sentiriez comme démuni sans votre croix à porter. Vous l’avez perçu comme une partie constituante de votre vie depuis si longtemps. Vous demeurez parfois étendu sous elle juste pour sentir son poids vous broyer les épaules.
Essayons de bien tout comprendre depuis le début: Je ne néglige pas la difficulté de votre situation. Je dis simplement que vous vous y accrochez. Cessez de mettre en valeur les exigences de la situation dans laquelle vous vous trouvez. Vos problèmes ne sont ni une médaille ni un insigne à arborer. Ils ne s’en iront pas d’un claquement de doigt. Personne ne va vous les enlever. S’ils sont vos problèmes, ils sont à vous, et c’est à vous de changer votre perception à leur propos. Changez votre perception, et vous changerez la configuration de vos difficultés.
Ne cherchez pas la faute en autrui. Mettez-vous plutôt à leur place.
Quelle que soit votre situation, le dénominateur commun est le même. Vous le voyez dans un sens, mais vous êtes incapable de le voir dans un autre sens.
Il est probable que vous accuserez. Vous accuserez les autres. Vous accuserez le sort. Vous M’accuserez. Lorsque vous accusez, vous ressentez de l’hostilité, et en accusez les circonstances. Cela vous maintient exactement là où vous avez commencé. Cela ne vous mène nulle part. Vous tournez en rond. Lorsque vous tournez en rond, vous ne voyez pas clairement. Peu importe ses justifications, votre colère vous appartient. Elle est de courte-vue. Bien sûr, qu’elle l’est. Essayez de voir plus loin. Voyez au-delà de votre rue. Voyez le changement.
Lorsqu’un problème paraît insurmontable, vous ne voyez pas d’autres options à part celle d’être sauvé par quelqu’un ou par quelque chose, ou celle de partir, ou celle de faire partir quelqu’un. Ou bien, ou bien, ou bien… Vous excluez pas mal d’autres possibilités. Bien sûr que si, ou vous auriez changé votre situation à l’intérieur depuis fort longtemps.
Je ne dis que rester ou partir est juste ou non. Je dis que Je ne veux que ni vous ni autrui ne souffriez. Et pourtant, souvent, votre compassion est pour vous-même, et vous n’en avez aucune pour ce que vous pourriez considérer comme le fléau de votre existence.
Trouvez de la compassion pour les autres. Faites preuve de clémence.
* Le jeûne, le sac et la cendre – Daniel 11, 2
Texte traduit par Jean-Christophe
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